GA 159 : La mort, ce mystère

Tout homme se sent profondément concerné par la mort, la sienne comme celle de ses proches.

Mais elle reste un mystère, une énigme, aussi longtemps qu’il n’a pas saisi qu’elle constitue en réalité un passage, une naissance à l’esprit.

Elle nous offre la preuve de la victoire de l’esprit sur la matière. Car le mort ne disparaît pas à tout jamais, il vit dans un monde de l’esprit qui n’est pas inaccessible au monde des vivants, comme on le croit ; des deux côtés de ce seuil, les êtres peuvent avoir des liens, en particulier, ils peuvent s’entr’aider dans la connaissance de soi qui représente la tâche essentielle de l’homme et perdure après la mort.

Cette connaissance de soi concerne aussi l’homme terrestre dans son appartenance à un peuple. En cette époque de la Grande Guerre où furent faites ces conférences, Steiner décrit les caractéristiques des différents peuples en conflit : qu’est-ce qui caractérise, en tant que ressortissant d’un peuple, l’Allemand, le Français, l’Anglais, l’Italien, le Russe ? Quelle tâche est dévolue à l’Europe du Centre ?

Ces conférences peuvent nous aider dans cette connaissance de soi – individuelle et en tant que membre d’un peuple. Grâce à elles, nous prenons conscience que cette vie terrestre est une préparation à la mort, de même que la vie dans l’au-delà est une préparation à la vie terrestre.

26,00  TTC

GA 159. Traduit par Geneviève Bideau – 434 pages.

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